Au cœur du jardin forêt, La bouquinerie, la bibliothèque, les ateliers de calligraphie et d'écriture, sont ouverts au public dès que le temps l'en permet ... des lectures et scènes théâtrales sont régulièrement proposées au cours des journées ...
Au cœur du jardin forêt, La bouquinerie, la bibliothèque, les ateliers de calligraphie et d'écriture, sont ouverts au public dès que le temps l'en permet ... des lectures et scènes théâtrales sont régulièrement proposées au cours des journées ...
Ou, nous contacter à :
plumesetboucansdailes@la-laie-des-elfes.com
Quelques tables de lecture, au cœur du jardin-forêt, ou du petit théâtre, sont à disposition, tant pour découvrir les livres de la bouquinerie que ceux de la bibliothèque, tout en godaillant sirops et fruits du jardin.
Ce que nous n'oserons sereinement s'en fera par la violente résurgence des dénis ... Toute culture est gorgée des fraîches tintes de ses sources ...
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Nous sommes sur le marché aux livres anciens d'Amiens tous les premiers samedis du mois, de 9 à 18 heures, avec les copains bouquinistes, place de la gare ... également, parfois sur le marché aux livres de Douai, et sur différents autres, à l'occasion.
Théâtre, poésie, arts, philosophie, Totum des connaissances, traités et pratiques des savoirs et savoir-faire paysans et ouvriers, d'arts populaires et de rue, nature et cultures vivrières, communes et communaux ... pour ce que nous proposons, et bien plus encore chez les copains.
Les bouquinistes sont un des derniers bastions de la culture, ni soumis aux lois de la politique orientée des bibliothèques et de leurs ministères, ni à celles de l'économie de marché des librairies ... encore affranchis des sournoises entraves de la prolétarisation malgré les incessantes agressions du pouvoir et le mépris d'une bien large part de ce qui s'en prétend représenter la culture.
Des petits lieux qui ont encore gardé la chaleur des foutoirs féconds de limbes ... des merveilles oubliées entre feuillets égarés et nouvelles émergences. Le temps n'y est plus cette hideur industrielle qui arrache tout à tout, mais de la nue qui s'en refonde en les trémules universelles des harmonies ...
l'inattendu y croise les germes de l'improbable en les vapeurs d'encres indociles.
La terre a la mémoire des feux, et la lumière, toujours, résurge quelque part ! ...
Plumes et boucans d'ailes
19, rue de la république
80 800 Cerisy
plumesetboucansdailes@la-laie-des-elfes.com
Ouvertures aux heures hasardeuses uniquement , selon nos humeurs ...
La bouquinerie, la bibliothèque, les ateliers de calligraphie et d'écriture, sont ouverts au public dès que nous le pouvons ... sinon, nous contacter à :
plumesetboucansdailes@la-laie-des-elfes.com
Quelques tables de lecture, au cœur du jardin-forêt, ou du petit théâtre, sont à disposition, tant pour feuilleter les livres de la bouquinerie que pour ceux de la bibliothèque.
La terre a la mémoire des ondes, et la lumière, toujours, résurge quelque part ! ...
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Nous rejoindrons, ce samedi et tous les premiers samedis du mois, de 8 à 18 heures, les copains bouquinistes, place de la gare, à Amiens, avec Plumes et boucans d'ailes, la bouquinerie de la laie des Elfes, sur le marché aux livres anciens ...
Théâtre, poésie, arts, philosophie, Totum des connaissances, traités et pratiques des savoirs et savoir-faire paysans et ouvriers, d'arts populaires et de rue, nature et cultures vivrières, communes et communaux ...
Plumes et boucans d'ailes
19, rue de la république
80 800 Cerisy
plumesetboucansdailes@la-laie-des-elfes.com
Ouvertures aux heures hasardeuses uniquement , selon nos humeurs ...
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Les activités du collectif La laie des Elfes tentent à être, le plus possible, en partage, ou à prix libre, afin de n'exclure personne.
Nous sommes toutefois contraints, par l'état à payer des charges, des impôts, des taxes, et des amendes ou sentences de procès qui n'en nourrissent en rien la cause commune ... et Il ne nous est, pas possible de vivre libre dans ce monde où tout se vend, même le soin, l'attention, et la beauté, sans en payer un certain prix.
La bouquinerie, les ateliers de restaurations d'objets et outils anciens, autant quelques autres travaux et dons, nous permettent tant de vivre sobrement que de perpétuer les activités en partage.
Nouveau paragraphe
La permaculture ne saurait nous étourdir dans un petit monde clos, tant soit-il enchanteur et paisible ... Des voyages ! ... nus pieds, car on ne saurait savourer et comprendre autrement ... des rencontres, avec ceux de pays profonds, leurs contes, leurs mémoires, et les traces de leurs aïeux ... chemins et laies faisant.
La pierre, le bois, le fer, aussi la terre, l'eau, le feu et l'air ... des forêts, des ruisseaux, faunes et fanes, de villages en hameaux, de vaux en breuils, et de bouches en bouches ... des rêves partagés et coulés dans la même gamelle, la même fontaine, ou la même bolée, autour d'un brasillant de bois ... qu'importent les godilles, qu'en furent les écoles ! ... les sourires sont de mêmes rondes.
C'est une vie qu'on sème en un jardin, et autant celles de ceux qui l'ont nourri ... On ne saurait y frauder, pas plus y mystifier ... comme on ne saurait flouer le temps bien longtemps ... les frêles friselis du vivant veillent aux concordes et résonances ...
Ce qui ose vivre s'en est toujours plus fort que la médiocrité: prospérant, propageant, et, finalement, engloutissant tout ce qui voudrait l'en dissuader d'être généreux.
Jamais la rosée n'en perd une goutte de mémoire, jamais le vent n'en délaierait les filandres de l'aube.
Là s'en hume l'humus, s'en palpe les coings verts, encore s'en goûte les myrtilles, s'en ouissent les butines et s'en mirent les lucioles ...
Ici, chacun sait que toute hiérarchie condamne la diversité des essences de résilience, et que ce qui fait vie, dans son authenticité et sa spontanéité abreuve la saine danse de la pleine mue ...
Je marcherai longtemps encore ... cueillant, doigts nus, et d'yeux en yeux, de menues gouttes de nues lèges, glanant, sur les joues fines, quelques aveux d'orages, soufflant à pleines paumes les duvets d'oisillons agiles...
J'aime les fruits aux bords des lèvres ... Toujours un jardin s'y habite et s'orne d'ondes et tintines ...
La permaculture ne saurait nous étourdir dans un petit monde clos, tant soit-il enchanteur et paisible ... Des voyages ! ... nus pieds,
car on ne saurait savourer et comprendre autrement ... des rencontres, avec ceux de pays profonds, leurs contes, leurs mémoires, et les traces de leurs aïeux ...
chemins et laies faisant.
La pierre, le bois, le fer, aussi la terre, l'eau, le feu et l'air ... des forêts, des ruisseaux, faunes et fanes, de villages en hameaux, de vaux en breuils,
et de bouches en bouches ... des rêves partagés et coulés dans la même gamelle, la même fontaine, ou la même bolée, autour d'un brasillant de bois ...
qu'importent les godilles, qu'en furent les écoles ! ... les sourires sont de mêmes rondes.
C'est une vie qu'on sème en un jardin, et autant celles de ceux qui l'ont nourri ... On ne saurait y frauder, pas plus y mystifier ...
comme on ne saurait flouer le temps bien longtemps ... les frêles friselis du vivant veillent aux concordes et résonances ...
Ce qui ose vivre s'en est toujours plus fort que la médiocrité: prospérant, propageant, et, finalement, engloutissant
tout ce qui voudrait l'en dissuader d'être généreux.
Jamais la rosée n'en perd une goutte de mémoire, jamais le vent n'en délaierait les filandres de l'aube.
Là s'en hume l'humus, s'en palpe les coings verts, encore s'en goûte les myrtilles, s'en ouissent les butines et s'en mirent les lucioles ...
Ici, chacun sait que toute hiérarchie condamne la diversité des essences de résilience, et que ce qui fait vie,
dans son authenticité et sa spontanéité abreuve la saine danse de la pleine mue ...
Je marcherai longtemps encore ... cueillant, doigts nus, et d'yeux en yeux, de menues gouttes de nues lèges, glanant, sur les joues fines,
quelques aveux d'orages, soufflant à pleines paumes les duvets d'oisillons agiles...
J'aime les fruits aux bords des lèvres ... Toujours un jardin s'y habite et s'orne d'ondes et tintines ...
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Le jardin-forêt de la laie des elfes accueille, en son petit théâtre, et ses coulées de verdures, des rencontres qui s'en veulent rompre
avec les cloisonnements dressés entre les arts, les sciences, les artisanats et la paysannerie,
tout autant avec les populations, et notamment la rurale.
On y parle la langue qui cherche à s'enrichir et se délecte autant des essences de la raison que des nues de la poèsie, des habiles tours de la pogne
ou des godilles vagabondes ... On y cause librement, car tout doit pouvoir être dit pour mieux s'en gorger de connaissances,
et autant mieux s'en immuniser des fourberies.
Rencontrer les autres, c'est, tout autant, être curieux de soi, de ce qu'on s'en empreinte, s'en accorde et s'en partage d'inattendu et de spontanné ...
s'en faire résonner les peaux et la caboche avec les tintines de l'onde absolue ... muser à des friselis d'ailes dans les flues indociles de vents .
Errer, flâner, rêver n'en sont rien de temps perdus, et s'en mènent à des perceptions sans cesse nouvelles qui, loin des maîtrises,
en apportent les agilités de l'esprit et les authenticités de l'onde sensorielle. Cueillir, glaner,
faire fruits et semer, les chairs ivres des branles du funambule qui s'émeut dans un ciel de foudres ! ...
On ne vainc que nus !